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Numéro spécial SOFThinking n° 18 Au coeur des Industries du savoir


EDITORIAL 
Abdou Karim GUEYE CEO Monitoring Africa, EIA, 
MGRH John Maxwell Certified Coach, 
Teacher and Speaker Making Government Work in Hard Places specialist


 Je suis heureux de vous présenter SOFThinking Newsletter n° 18. 

Cette Lettre apparaît depuis quelques années, il est vrai, de façon épisodique. Mais ce nouveau numéro arrive à un moment important où des compétences et des structures comme le Cabinet MGRH et l’Ecole Internationale des Affaires (EIA), ainsi que Monitoring Africa ont décidé de mettre en réseau leurs expériences nationales et internationales, leurs acquis académiques dans différents métiers. Alors, une exigence, c’est accélérer les parutions. 

SOFThinking Newsletter est aussi un instrument pour le PDG et le Top management pour parler au personnel, aux actionnaires, aux Stakeholders, au monde, aux clients et aux Centres de stratégie, de profits ou de coûts qui existent dans ce Consortium. C’est connu, les organisations de classe internationale, dans des domaines comme les nôtres, en matière de formation, de recherche-action, d’évaluation, d’investigation et de contrôle, de conseils, de consultance, de rating ou monitoring ont cette newsletter diffusant leur savoir, leur image, leurs capacités de pensée, d’action, de recherches et d’exercice de métiers connexes. Elles devraient aussi justifier leurs compétences par leurs publications et la pertinence de leur recherche : livres, ebooks, livres blancs, articles, etc. 

Par exemple, à cet égard, le Consortium édite déjà d’autres revues comme RH publié chaque mois par le Cabinet MGRH. Dès que Monitoring Africa et ses associés auront mis en place le dispositif organisationnel de gestion de ce nouveau consortium, nous espérons que la parution de SOFThinking Newsletter sera plus régulière, voire hebdomadaire. 

 En fait, il faut réformer, rendre publiques les informations et les résultats sur la performance. Dans ce numéro nous avons particulièrement choisi de traiter de certaines bonnes pratiques que plusieurs organisations internationales et de grandes structures de conseils et de formation reconnaissent, inspirés par des paradigmes et techniques comme le Rockefeller Habits, etc. 

Nous avons adapté ces recherches à notre contexte africain pour avoir pendant plus de 40 ans parcouru tant d’organisations publiques ou privées en Afrique. Par ailleurs, de nouvelles bonnes pratiques militent à jeter aux oubliettes ces vieux paradigmes de la « confidentialité » et du « secret » qui ne devraient se justifier que dans un contexte décrit et encadré qui ne tue pas les idéaux supérieurs de la démocratie, de la transparence, de l’éthique et de la nouvelle gouvernance entrepreneuriale, etc. Il existe tant d’exemples à cet égard : la floraison des « Freedom Information Act », la réglementation des pouvoirs de saisie, de perquisition, de surveillance des inspecteurs et contrôleurs généraux dans certains pays par le biais de certains préalables de collégialité d’action et avec l’autorisation préalable du Procureur ou pas, etc. 

Par rapport au management, nous sommes à l’ère de l’accélération stratégique, de la gestion des talents, du « scaling-up » et bien d’impératifs évoqués dans ce numéro. Ce numéro cite brièvement de nombreux exemple sur lesquelles le Consortium Monitoring Africa-EIA-MFGR reviendra par le biais d’articles plus détaillés et spécifiques. 

 Rien n’est absolument vrai, unique. Tout est divers. 

Mais, il faut des élites qui ont la capacité de pensée stratégique, de recherche, de réinvention, de recyclage des expériences vécues, des évaluations publiques, etc. Il faut plusieurs écoles et un tri méthodologique approprié. 

Et, en Afrique francophone, il est étonnant, souvent, étrange que l’on invoque des pratiques et dispositifs du vieux droit français comme si ceux-ci étaient universels et oser dire que partout dans le monde les choses se passent ainsi.

 C’est vrai ! Il est difficile dans un contexte où tant de gens sont des généralistes et osent défier le savoir des spécialistes d’avancer sans confusion. 

En fait, la spécialisation a un prix : la recherche, la curiosité, la soif d’apprendre, le benchmarking, l’audace de recréer, d’adapter et non d’adopter, la transparence, l’intégrité, la méritocratie ! 

En vérité, le monde est divers. L’enjeu est important à un moment où, par exemple, pour les francophones il s’agit de : 
 - tourner la page du vieux dispositif colonial encore ancré dans quelques législations et dans la culture bureaucratique ; 
- Procéder à un réalignement à l’heure du nouveau management public, de nouvelle démocratie et de nouvelle gouvernance entrepreneuriale ; 
- d’oser penser par nous-mêmes et par nous-mêmes, tout en restant ouvert aux apports fécondants de l’extérieur comme le disait ce grand philosophe Senghor. 

SOFThinking Newsletter contribue à cet idéal… 

 Abdou Karim GUEYE CEO Monitoring Africa, EIA, MGRH John Maxwell Certified Coach, Teacher and Speaker Making Government Work in Hard Places specialist


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