Soft thinking
Continuité d’une idée déjà parue dans l’ouvrage « Gouvernance entrepreneuriale et modernisation des Etats aux éditions manuscrit.com, d’où émergeait un thème intitulé « Paradigmes, valeurs philosophiques et pensée souple », préfigurant que le 21ème siècle impose de nouveaux chantiers auxquels les africains, plus que les autres, devaient s’atteler et participer, pour ne pas se marginaliser, car l’épreuve des faits les obligeait à aller de l’avant. Continuité d’une idée qui mettait ainsi en évidence que l’enjeu ultime, c’est la survie, et au-delà la croissance, le droit ou l’obligation de ne pas disparaître, c’est comprendre « qu’un paradigme est par essence évolutif et qu’il dure tant que ne s’imposent pas d’autres paradigmes ». Alors, pourquoi au besoin ne pas réinventer, si à l’instar de l’ouvrage on se convainc que « la chance de l’Afrique est la faculté, l’extraordinaire opportunité et l’avantage comparatif qu’elle a de ne pas s’aliéner un modèle, de pouvoir s’inspirer de modèles aussi divers que ceux des pays anglo-saxons, européens, maghrébins ? ». Une gouvernance entrepreneuriale, c’est ainsi admettre que « l’avenir de l’Afrique, c’est une ouverture sur la totalité du monde, pour intérioriser une synergie d’expériences positives. » Alors SoftThinking acquiert de ce fait une légitimité, car il s’agit de penser et de créer, de mettre en relation, s’ouvrir aux apports féconds, en adaptant. SoftThinking, c’est la continuité de réflexions longtemps entamées.
Continuité d’une idée déjà parue dans l’ouvrage « Gouvernance entrepreneuriale et modernisation des Etats aux éditions manuscrit.com, d’où émergeait un thème intitulé « Paradigmes, valeurs philosophiques et pensée souple », préfigurant que le 21ème siècle impose de nouveaux chantiers auxquels les africains, plus que les autres, devaient s’atteler et participer, pour ne pas se marginaliser, car l’épreuve des faits les obligeait à aller de l’avant. Continuité d’une idée qui mettait ainsi en évidence que l’enjeu ultime, c’est la survie, et au-delà la croissance, le droit ou l’obligation de ne pas disparaître, c’est comprendre « qu’un paradigme est par essence évolutif et qu’il dure tant que ne s’imposent pas d’autres paradigmes ». Alors, pourquoi au besoin ne pas réinventer, si à l’instar de l’ouvrage on se convainc que « la chance de l’Afrique est la faculté, l’extraordinaire opportunité et l’avantage comparatif qu’elle a de ne pas s’aliéner un modèle, de pouvoir s’inspirer de modèles aussi divers que ceux des pays anglo-saxons, européens, maghrébins ? ». Une gouvernance entrepreneuriale, c’est ainsi admettre que « l’avenir de l’Afrique, c’est une ouverture sur la totalité du monde, pour intérioriser une synergie d’expériences positives. » Alors SoftThinking acquiert de ce fait une légitimité, car il s’agit de penser et de créer, de mettre en relation, s’ouvrir aux apports féconds, en adaptant. SoftThinking, c’est la continuité de réflexions longtemps entamées.
Continuité d’une idée qui donne tout son sens au concept de SoftThinking, car l’écrit admettait déjà que « nous sommes à l’ère où les disciplines et des pratiques ont besoin de s’ajuster, au temps du besoin d’une primauté de la pensée souple et humaniste, d’un management qui, certes a dû un moment épouser une rationalité mécaniste, faite de calculs, avec des prétentions à la représentation en terme d’images scientifiques, mais qui doit admettre, à la lumière des crises de ces dernières années, que le monde réel est complexe et multipolaire ; que l’écologie, la recherche d’une société plus humaine sont encore des problèmes du siècle présent. »
Alors, SoftThinking entend poursuivre la réflexion, car la société moderne a besoin, de la gouvernance qualitative, entrepreneuriale et démocratique, ce qui est le nouveau sens du concept « management public », peut-être du management tout court. Le concept s’appuie sur l’idée que la clé de succès réside ainsi dans la synergie, les interrelations et les approches systémiques et intégrées de la Gouvernance avec divers sous-systèmes : la Transparence, l’Intégrité, l’Obligation de rendre compte et la responsabilité, le Management public et les Audits dans le secteur public. Il traduit cette interrelation entre d’une part, les vécus intellectuels et expérimentaux et d’autre part, les systèmes et outils de la gouvernance, des audits et enquêtes de prévention et de détection des fraudes. SoftThinking est ainsi un questionnement rétrospectif sur les paradigmes, duquel émergent une rétrospective mais aussi de la prospective.
SoftThinking, c’est contribuer à l’enrichissement des visions, à la consolidation des perspectives stratégiques du futur, conceptualiser les vécus et expériences d'Auditeur, de formateur, de Consultant et d’assistant technique international, au terme de projets et travaux de terrain les plus divers d’implantation, de développement et de réseautage d'Inspections générales d’Etat et d’Institutions assimilées d’Afrique (FIGE), de chaînes de contrôle interne et externe de pays africains, de Gouvernance Financière et/ou de Renforcement de la Transparence, de l'Éthique, de la Responsabilité et de l’Intégrité, pour penser et agir. C'est cela le but de ce site web et des différents blogs qui lui sont associés (http://akgsoftthinking.blogspot.com)
SoftThinking, c’est contribuer à l’enrichissement des visions, à la consolidation des perspectives stratégiques du futur, conceptualiser les vécus et expériences d'Auditeur, de formateur, de Consultant et d’assistant technique international, au terme de projets et travaux de terrain les plus divers d’implantation, de développement et de réseautage d'Inspections générales d’Etat et d’Institutions assimilées d’Afrique (FIGE), de chaînes de contrôle interne et externe de pays africains, de Gouvernance Financière et/ou de Renforcement de la Transparence, de l'Éthique, de la Responsabilité et de l’Intégrité, pour penser et agir. C'est cela le but de ce site web et des différents blogs qui lui sont associés (http://akgsoftthinking.blogspot.com)
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